
17 janvier, 14h30
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Zoom sur un objet du musée : les...
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Rue Lazare Ponticelli - 77100 Meaux
Tél. : 01 60 32 14 18
Horaires
9h30 à 18h sans interruption - Port du masque obligatoire
Fermeture les mardis et jours fériés : 1er janvier, le 1er mai, le 25 décembre
Attention : clôture des caisses une demi-heure avant la fermeture du Musée
Fermetures annuelles du 23/08/21 au 05/09/21 inclus
Tarifs
Pleins tarifs : 10€
Tarifs réduits entre 5€ et 9€ (sur présentation de justificatifs)
Ce stahlhelm allemand, littéralement « casque d’acier », est présenté dans la section guerre nouvelle. Destiné d’abord à soustraire le seul combattant aux regards ennemis, le camouflage se développe durant la Première Guerre mondiale sous la pression de la reconnaissance aérienne et s’applique à tous les domaines : artillerie, véhicules, dépôts, avions, navires de guerre ou de commerce… Tout au long du conflit, il ne cesse de se perfectionner.
Août 1914 : villes et campagnes se vident de millions d’hommes de 18 à 45 ans en état de porter les armes. Les femmes, les enfants et les anciens doivent prendre en main le quotidien tout en participant à l’effort de guerre. Tous sont appelés à prendre la relève. Les plus jeunes aident à la maison tandis que les adolescents travaillent aux champs ou en usine. Encadrés par le système éducatif, les enfants sont invités à prendre modèle sur leurs pères, qu’ils représentent dans leurs jeux, et à se montrer digne de leur engagement par les actions patriotiques auxquelles ils participent : défilés, quêtes…
Dès le mois de septembre 1914, les stocks d’obus s’amenuisent à cause de leur consommation importante durant les premières semaines de guerre. Dans la certitude d’une guerre courte, aucun programme de fabrication n’avait été prévu. Fin 1914, la production est relancée et les femmes vont rejoindre les usines d’armement. Surnommées les « munitionnettes », ces ouvrières, subissant des conditions de travail très éprouvantes, tournent 2 500 obus de 75, soit 4 500 kg de métal, quatorze heures par jour.
Cet objet d’artisanat de tranchée est un instrument de fortune, réalisé sur la base d’éléments dont ce n’était pas, pour certains, la fonction première. En effet, si le manche provient d’un véritable instrument de musique, la caisse de résonnance est quant à elle fabriquée sur la base d’une coque de casque Adrian. Dans les tranchées, jouer ou écouter de la musique devient un moyen de survivre mentalement. Des instruments sont apportés par les soldats ou expédiés par les familles tandis que d’autres sont achetés ou récupérés sur le front. Certains sont confectionnés sur place par des hommes s’improvisant luthiers avec les moyens du bord. Ces instruments, allant de la caisse rudimentaire à la pièce sculptée, accompagnent les hommes qui mettent ainsi un peu musique et d’humanité dans leur quotidien.
La Grande Guerre produit de nombreux mutilés qu’il faut prendre en charge et appareiller afin de permettre à ces hommes de retrouver une place dans la société. Les appareillages évoluent pour répondre aux besoins fonctionnels des victimes de guerre : de nombreux travaux de recherches se consacrent à l’évolution des pieds, genoux ou mains prothétiques...
Alliés des puissances de l’Entente depuis la guerre russo-japonaise de 1904-1905, le Japon déclare la guerre à l’Allemagne le 23 août 1914. Pour lui, c’est l’occasion d’étendre son influence en Asie en récupérant les colonies allemandes. Au début du XXe siècle, l’armée japonaise a été réorganisée et ses équipements modernisés. La tenue dite M.45, portée à partir de 1913, se compose d’un uniforme kaki. Son équipement, pratique et très complet, n’a rien à envier à celui d’un fantassin européen.
La France aligne des unités composées de soldats originaires d’Afrique noire. C’est la « Force noire » prônée par le général Mangin et que l’Etat-major allemand considère comme indigne d’un pays civilisé. Ces régiments de « tirailleurs sénégalais », recrutés en fait dans toute l’Afrique noire française, se révèlent de redoutables combattants. Souvent utilisés comme troupes de choc, leurs pertes restent cependant légèrement inférieures à celles des combattants métropolitains.
Quand ils s’engagent dans le conflit, les Etats-Unis n’ont qu’une petite armée de volontaires légèrement équipés. Le premier contingent qui débarque à Saint-Nazaire aux ordres du général Pershing le 26 juin 1917 est salué avec enthousiasme. Mais les troupes américaines ne représentent encore que 180 000 hommes fin novembre 17. A partir de juillet 1918 le rythme s’accélère ! Ils débarquent au rythme de 250 000 par mois. Au moment de l’armistice, ils sont près de 2 millions sur le territoire.
Horaires
09h30 à 18h00 sans interruption
Fermeture les mardis,le 1er mai, le 25 décembre et le 1er janvier.
Fermeture annuelle du 23/08/21 au 10/09/21 inclus
Port du masque obligatoire à partir de 10 ans
Conditions sanitaires en vigueur
Tarifs
Plein tarif : 10 €
Tarif réduit : de 5 à 7 €
(sur présentation de justificatif)
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